La Cour de cassation dans un arrêt du 30 septembre 2010 précise :

 » l’absence de pouvoir du signataire de la lettre de licenciement prive le licenciement de cause réelle et sérieuse; que par ce motif de pur droit substitué à ceux critiqués, l’arrêt qui alloue à la salariée une indemnité réparant l’intégralité du préjudice résultant du licenciement se trouve légalement justifié ;  »

Audrey BALLU-GOUGEON, avocat au barreau de RENNES